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Presse

UN FAUTEUIL POUR L'ORCHESTRE

« Par cette magistrale réécriture d’un phénomène social, par ce dépaysement de la langue du crime vers une autre langue, classique et luxuriante à la fois, fécondée par les poètes qui l’ont précédé, Babylone, mis en scène efficacement par Max Millet et interprété avec virtuosité par Maurici Macian-Colet porte le fer dans le fondement même du monde de l’entreprise : dans l’ordre de son discours ! »

UN FAUTEUIL POUR L'ORCHESTRE

« La Nuit chinoise est une poursuite étrange, dans une nuit trouble, « sans astre », une variation libre, productrice d’un sens nouveau du mythe faustien. (...) L’écriture de Maurici Macian-Colet produit une parole qui a du corps, à nulle autre pareille, elle a cette puissance d’attraction qui immédiatement saisit l’oreille. (...) Cette écriture est pleine, comblée de l’expérience de plateau de son auteur, nourrie des eaux vives de nos littératures anciennes, et sait ouvrir le champ à une poésie de l’esprit en fuite, du savoir en déroute, à l’aune des catastrophes annoncées de notre siècle. »

Nature morte avec sexe d'ange

La presse a dit à propos de Nature morte avec sexe d'ange :

 

FIGAROSCOPE

« Maurici Macian-Colet a écrit une drôle de pièce. Et c’est toujours plaisant de découvrir une écriture inhabituelle et une quête d’exigence. (...) Une attaque contre le Mystère pour un mystère quelque peu abscons ! On pourrait trouver cela insupportable si l’écriture n’était pas aussi intéressante. L’auteur nous tient en haleine pendant presque deux heures, sans que l’on se lasse une minute. Un peu inégaux par instants, les comédiens sont néanmoins pour beaucoup dans la réussite du spectacle. (...) Cette pièce intrigante mérite vraiment d’être vue. »

Figaroscope

THÉÂTRE AU VENT (LE MONDE)

« Farce tragique et percutante. (...) 
C'est méchamment drôle et éloquent. Tous les interprètes sont formidables. (...) 
La distance ironique opérée par l'auteur et les metteurs en scène permet l'incision sans trop de douleur - mais tout de même - dans cette plaie mise à nu, l'impuissance masculine. Il s'agit d'un acte politique ! »

Le Monde

THEATRAUTEURS

« Cette pièce est férocement drôle ! (...) Texte et situations grincent bien et les spectateurs s'amusent beaucoup. Je n'ai pas fait exception à la règle, loin de là ! Voici une pièce atypique, bien jouée et menée rondement. Elle mérite donc d'être vue par le plus grand nombre mais comme cela se termine le 13 février, faites vite ! »

AU BALCON

« Monstrueusement humain. Voilà comment j’essayerai de définir cette pièce. (...) Une pièce très bien jouée mais qui met mal à l’aise. (...)
Elle est surtout très dérangeante. Un goût de désespoir et d’inachevé nous reste dans la bouche après la représentation.
Ames sensibles s’abstenir. »

Aubalcon

LA LETTRE FRANCOPHONE

« Un éclairage vivant sur des faits de société qui (nous) dépassent. (...) On y parle de sexe. Mais rien de rabelaisien. (...) On y parle de sexe masculin. Douloureusement. Pour la première fois à ma connaissance, le texte dévoile la lourde pression qu’engendre sur les hommes  la fascination du symbole de leur pénis. (...) Un texte fort, des acteurs sans faille. »

Lettre francophone (Alliance francophone)
Un coeur sous une soutane d'Arthur Rimbaud
La première du premier spectacle des Sbires Sibériens a eu lieu à Moscou, à la Maison centrale des travailleurs de l'art, une institution d'origine soviétique située au lieu même où le jeune Stanislavski a fait ses débuts. Cette première a provoqué un petit scandale diplomatique avec les institutions françaises. Un article paru au Courrier de Russie résume cet épisode grotesque.
Le Courrier de Russie Rimbaud
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